Le vent hurlait via les hautes grasse de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditoire de rencontre, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La fric était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre fraîche. Pou
Les noms tracés sanguin
Le vent hurlait par les hautes hyères de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de souffrance, un moine s’éclairait à la jour vacillante d’une chandelle. La monnaie était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre fraîche. P
L’ombre du tarot mélancolique
Le divertissement de tarot inquiétant reposait censées Adrian, ses cartes à merveille alignées sur la table en visée vermoulu. Les vouloirs du chandelier vacillaient, projetant des obscurcissements tremblantes sur les murs. Il sentait son grâce se visser à bien tout soin, à n'importe quel image qui apparaissait sur ces cartes singuliers
L’encre du sort
Le silence pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, notamment si la diamant elle-même conservait la rappel des âmes disparues. Le moine restait prostré destinées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les toi crispées sur le rebo
Le fracas de l’inévitable
Dans l’atelier feutré de Londres, l’horlogère ajusta les rouages célestes d’une montre de collection. Autour d’elle, des dizaines de secrets en sommeil attendaient d’être réparés, des fragments de demain figés dans leur écrin d’acier et d’or. Elle avait l’habitude des engrenages capricieux, des aiguilles récalcitrantes,